Dégusté le 28/09/2018. A l’évocation du nom Balliccioni, j’ai toujours en tête la cuvée « tradition » 2002 que j’avais dégusté en 2011 car elle m’avait surpris et laissé d’excellents souvenirs gustatifs. Ici il s’agit de la cuvée située en haut de la gamme du domaine Balliccioni : Kallisté, la plus belle, autre nom de la Corse …
Faugères – Kallisté – 2011 – Domaine Balliccioni Lire la suite »
Dégusté le 25/05/2017. Le faugères « classique » est la cuvée milieu de gamme du domaine Balliccioni. Le millésime 2002 m’avait laissé de très bonne impression quand je l’ai dégusté en 2011. Lors de ma rencontre avec M Balliccioni au cours d’un salon, il semblait pourtant étonné d’une si belle garde. J’ai déjà dégusté ce millésime 2011 en 2013, …
Dégusté le 03/11/2013. On reste dans l’Hérault avec ce tout jeune Faugères du domaine Balliccioni. La robe d’un rubis très profond et soutenu présente encore les reflets violets de jeunesse. On est sur le cuir, la vanille et la cerise noire. Pas trop d’évolution encore et même la carafe n’y change pas grand chose : …
Dégusté le 24/07/2011. André Ballicionni a fondé son domaine en 1998 sur la commune d’Autignac en appellation Faugères. Différentes cuvées sont disponibles, il s’agit ici du Faugères rouge. La robe est assez intense, d’un grenat virant au pourpre et présente un beau tuilage. Le 1er nez présente un très beau fruit très fruits noirs : …
Dégusté le 26/7/2009. Voilà une véritable découverte qu’est ce vin conseillé par un caviste avisé ! Il s’agit d’un vin d’Anjou blanc, créé par Cyril Le Moing, alors apprenti vigneron comme il aimait à le signaler sur l’étiquette (ce n’est plus le cas pour les dernières cuvées). Une agriculture respectueuse de sa terre d’origine puisque …
Anjou – Les Gains de Maligné – Cyril Le Moing – 2004 Lire la suite »
Dégusté le 23/7/2009. Comme vous pourrez le constater, j’adore les bourgogne blancs et j’affectionne la maison Verget qui sait toujours produire des grands vins, quelle que soit l’appellation. ’96 est une très bonne année dans le Mâconnais, alors quand l’éleveur n’est autre que J.M. Guffens, le résultat ne peut qu’être fabuleux et de longue garde.