Dégusté le 11/01/2025. Comme son nom l’indique, voici le 3ème vin du célèbre 1er grand cru classé A de Saint-Emilion, le château Angélus. Positionné derrière le Carillon, le merlot y prédomine largement l’assemblage (85 à 90%). La robe est grenat, d’intensité moyenne à profonde, avec un ourlet de jeunesse. Beaucoup de finesse dans le 1er […]
Saint-Emilion – N°3 d’Angélus – Château Angélus – 2019 Lire la suite »
Dégusté le 05/11/2022. L’année 2002 est une bonne année, sans être exceptionnelle, dans le bordelais. Au Château Poujeaux, elle est réputée plus difficile. Ma dégustation en 2010 du Poujeaux 2002 m’avait pourtant surpris dans le bon sens et je m’étais fixé deux ans pour refaire le point. Nous voilà presque 13 ans plus tard, j’ai
Moulis-en-Médoc – Château Poujeaux – 2002 Lire la suite »
Dégusté le 19/09/2020. Du maconnais, on descend un peu plus au sud pour faire une étape dans le Beaujolais, chez Jean-Michel Dupré avec ce Côte du Py des vieilles vignes du Père Martin. Exit le Beaujolais nouveau, ici on parle du véritable Beaujolais et parmi les dix crus que l’on y trouve, on a le
Morgon Côte du Py – Les Vielles Vignes du Père Martin – 2018 – Jean-Michel Dupré Lire la suite »
Dégusté le 04/05/2020. La maison Bouey est connue de certains amateurs, notamment en dehors de France, mais surtout de certains grands domaines du Bordelais car elle propose à plusieurs de ces derniers un partenariat à l’export. Parmi les grands noms qui font appel à elle, on peut trouver Château Haut-Brion, Château Giscours, Château Léoville-Poyferré, Château La
Médoc – Cru Bourgeois – Château La Ribaud – 2014 Lire la suite »
Dégusté le 06/07/2019. Au mois de janvier, j’avais ouvert un malbec argentin de la région de Mendoza. J’avais bien apprécié ce cru du domaine Bousquet. Cette fois-ci, il s’agit de nouveau d’un malbec de la même région d’Amérique du sud mais en 2017 et de chez Tamari. L’argentine serait-elle l’eldorado du malbec ? La teinte pourpre
Mendoza – La Finca – Malbec – 2017 – Tamari Lire la suite »
Dégusté le 07/05/2015. Le tuilage est total et uniforme pour ce Coudoulet ‘98 pourpre d’intensité moyenne. Le nez est d’abord sur le fruit rouge cuit, confituré, avec une note « kirschée ». Mélange cerise/framboise, mais aussi de la mûre et… coing. C’est joli et ça donne envie. On a de la rondeur et un léger vanillé avec
Côtes-du-Rhône – Coudoulet de Beaucastel – 1998 Lire la suite »