Dégustations de l’année 2002
Dégusté le 03/12/2002. Ce Saint-Emilion est le 2d vin du château Pavie-Macquin. Belle robe rubis. Nez sur le fruit et le jus de viande au beurre, coriandre. Bouche encore boisée, assez souple avec des tanins très fins. Accords : charcuterie, agneau, chevreuil, viande rouge Infos : Les Chênes de Macquin – Saint-Emilion – 1995 – […]
Saint-Emilion – Les Chênes de Macquin – 1995 Lire la suite »
Dégustation à l’aveugle du 23/11/2002. Les Chablis de 1998 en aveugle avec une surprise ! 6 vins de ce terroir d’exception pour le chardonnay ont été dégustés. Leurs noms n’ont été dévoilés qu’à l’issue du vote final. L’ordre de dégustation fût aléatoire. Par ordre de (ma) préférence, les résultats sont les suivants…
Les Chablis 1998 Lire la suite »
Dégusté le 02/11/2002. Un vin… Un menu pour ce Bébian ‘95. Menu classique pour un accord sudiste : trio de poivron en marinade, daube de boeuf à la provençale, pain grillé à l’huile d’olive, crottin de Chavignol, fromages de brebis et roquefort. La robe présente une belle couleur pourpre au liseré encore relativement pâle. Le
Coteaux du Languedoc – Prieuré de Saint-Jean de Bébian – 1995 Lire la suite »
Dégusté le 27/10/2002. 1er nez sur les fruits rouges et noirs bien mûrs. L’agitation révèle du cassis et du cuir en 2d nez, avec un peu de jus de viande, vanillé. La bouche mêle la cerise et le boisé avec une belle longueur et du pruneau en fin de bouche. Après quelque temps, il devient
Vin de Pays de Vaucluse – Domaine des Tours – 1996 Lire la suite »
Dégusté le 06/09/2002. Le Bonnezeaux, le meilleur cru des coteaux du Layon, est un vin liquoreux du Val de Loire élaboré à partir de grains chenin sur lesquels de la pourriture noble a pu se développer. Nez ample dès le débouchage, sur les agrumes, la pêche, la poire et l’ananas séché. Beaucoup de choses sont
Bonnezeaux – Domaine des Grandes Vignes – 1999 Lire la suite »
Dégusté le 08/07/2002. La robe est saumon fumé. Le nez est plus sur la pêche, l’ananas et les agrumes que sur les fruits rouges qui ne sont qu’en second plan (alors que je m’attendais à une dominante de ceux-ci). Une pointe légèrement épicée est décelable. En bouche, on a un bon équilibre acidulé. La matière
Patrimonio – Domaine Orenga de Gaffory – 1998 Lire la suite »