Dégusté le 04/11/2017. En 2014, j’avais déjà dégusté un Servoisine 2000 de chez Joblot . Le problème de bouchon m’avait fait peur, mais, malgré une amertume dominante, le flacon m’avait procuré pas mal de plaisir Pour ce ’96, le tuillage est vraiment très prononcé, l’ourlet présente même des teintes franchement marrons. L’intensité, normale pour un
Dégusté le 24/04/2016. Après une grosse frayeur due au bouchon très (beaucoup trop) sec qui s’est brisé et le passage obligé en carafe d’urgence avec filtrage, un nez magnifique m’a rapidement rassuré sur la qualité de ce Givry Bois Chevaux qui m’avait attendu patiemment. Sa robe pourpre aux reflets brillants et ambrés invite à plonger
Dégusté le 10/10/2015. On reste en Bourgogne et en 1999, toujours dans la côte chalonnaise mais un peu plus au sud pour ce 1er cru de Givry de chez Joblot. La robe pourpre au tuilage uniforme présente une belle brillance. Le 1er nez est un peu fermé mais on peut y détecter du gibier, un
Dégusté le 21/09/2014. Après le clos du Cellier aux moines dans le même millésime, attaquons nous au clos des Bois Chevaux. Tuilage prononcé mais toujours beaucoup de brillance pour la robe de ce givry 1er cru. Quel nez ! Dès l’ouverture, les arômes de pinot noir version fruits cuits et à l’eau de vie fine
